La mémoire joue un rôle essentiel dans les apprentissage en général, et plus particulièrement ceux de la lecture et de l’écriture. Ce constat est valable, bien-sûr pour l’éducation musicale . La notation musicale est complexe et fait appel à des capacités spécifiques pour son utilisation. En s’appuyant sur les recherches scientifiques, sociologiques, neurophysiologiques, épistémologiques, peut-on extrapoler les lignes de conduites d’un enseignement musical mieux adapté et optimisé, par rapport à un état des lieux actuel politique et institutionel ? Quelle doit y être la place de l’oralité et de l’écrit en définissant les enjeux de l’un et de l’autre, afin de donner un sens à l’apprentissage de la musique?